Méthodologie et exemple d’un mémoire CESF
Vous êtes nombreux à chercher des exemples pour connaitre la méthodologie du mémoire CESF.
En effet, que vous soyez au CNED ou en centre de formation vous ne disposez pas toujours d’un soutien personnalisé et de toutes les explications nécessaires.
C’est pour cela que je vous propose une manière d’élaborer ce travail de recherche à travers un exemple concret.
En effet, en accompagnant les conseillers en ESF dans la rédaction de leur mémoire, de leur ISIC/ISC ou de leur ISI/ASI, je constate trop souvent que les étudiants ont des difficultés à rédiger et surtout apporter une analyse fine en croisant les concepts théoriques avec leur enquête de terrain.
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Je suis Sébastien, expert du secteur médicosocial et mentor des étudiants du social, de l’éducatif, du paramédical, de l’encadrement, à l’université et des candidats à la VAE (livret 2).
N’attendez plus le dernier moment pour avancer dans vos dossiers et subir le stress de la page blanche ou de la procrastination.
En effet, tout comme vous j’ai été confronté à des études éprouvantes (formation d’assistant social, puis CAFERUIS et master en sociologie des organisations option management et ressources humaines).
J’ai dû travailler en parallèle de ma scolarité mais aussi suivre mes formations alors que j’avais des enfants en bas âge.
Ce sont les freins et le manque que j’ai vécus qui m’ont incité à proposer mes services d’accompagnement.
Ainsi, je vous propose d’en savoir davantage sur mon parcours, mes prestations, la Foire Aux Questions (FAQ) et mes tarifs en cliquant sur les liens suivants (également disponible dans le menu) :
Mon (fabuleux) programme de correction
Bon courage et bonne lecture !
UN EXEMPLE ET UNE METHODOLOGIE D’UNE PARTIE D’UN MÉMOIRE CESF QUI DÉMONTRE BIEN COMMENT RÉDIGER SA PHASE EXPLORATOIRE EN CROISANT THÉORIE, PRATIQUE ET ANALYSE
Chapitre III du mémoire CESF. L’accompagnement médico-social dans le champ du handicap auprès des publics primo-arrivants originaires d’Afrique de l’Ouest : des rapports aux institutions contrastés entre rejet et collaboration
Ce troisième et dernier chapitre s’attache à analyser les relations entre les familles primo-arrivantes originaires d’Afrique de l’Ouest et les institutions médico-sociales. Surtout, nous allons mettre en évidence des situations concrètes relatées par les professionnels et le public cibles de cette recherche afin de pouvoir mesurer les rapports réciproques. Nous allons constater des situations emblématiques des relations interculturelles dans des contextes où les protagonistes ont pu être en désaccord mais aussi comment ces derniers ont pu trouver un compromis voire une entente malgré un cadre de référence différent.
1. Des divergences entre les professionnels et les familles lors de l’annonce du handicap
Le travailleur social peut se retrouver en difficulté dans sa pratique lorsqu’il rencontre des personnes issues de l’immigration qui n’ont pas intériorisé les mêmes normes et législations (Steiger, Pfiffner, 2008) . De ce fait, dans certaines situations des incompréhensions voire des malentendus peuvent être constatés.
En effet, les rapports interculturels dans le cadre d’un accompagnement social se traduisent par la mise en place d’un processus dynamique qui permet une communication compréhensive entre les personnes (Villanova, Hily, Varro, 2001) . Ainsi, instaurer une démarche collaborative dans la pratique professionnelle du travail social nécessite la compréhension et l’acceptation d’un cadre de référence qui diffère de celui qui intervient auprès des familles.
Pourtant il s’avère que dans la pratique ce type de rapports n’a pas être mis en œuvre de façon fructueuse. En effet, l’enquête de terrain a pu mettre en évidence plusieurs interventions qui n’ont pas pu aboutir ou qui ont été mis à mal.
Trois travailleurs sociaux CESF expliquent notamment que l’acceptation du handicap dans sa dimension médico-sociale avec les familles a pu s’avérer complexe voire rejetée.
Marion, une conseillère en économie sociale et familiale s’exprime à ce sujet : «J’accompagne actuellement une femme enceinte dans le cadre de son relogement. Plusieurs mois après son accouchement elle m’a annoncé que son enfant a été diagnostiqué comme ayant des troubles autistiques. J’en ai discuté avec elle mais elle a refusé de poursuivre l’accompagnement médical proposé. Je n’ai pas saisi le sens de ce refus et j’ai pensé à une difficile acceptation de la situation. Mais elle m’a expliqué que dans sa pratique religieuse elle se devait d’assumer seule la charge de cet enfant et son évolution. Evidemment on doit accepter ce choix pourtant je ne cesse de m’inquiéter pour cette mère qui affronte seul cela. Surtout je pense à l’enfant qui pourrait bénéficier de soins adaptés permettant de progresser malgré son handicap »
Ce témoignage permet de mesurer les difficultés que peuvent rencontrer les professionnels lorsqu’ils accompagnent des personnes où le rapport au religieux est omniprésent au point de rejeter le travail pouvant être mené par les institutions. Pourtant, malgré un devoir éthique d’accepter la différence de l’autre et ses choix de vie nous pouvons nous poser la question du devenir d’un enfant diagnostiqué en situation de handicap et qui ne peut pas bénéficier de soins. En effet plusieurs chercheurs s’accordent à dire que plus le handicap est repéré et traité de façon précoce et plus les troubles associés régressent.
Par ailleurs, parmi les familles interrogées la totalité de celles-ci évoquent d’un fort rejet lors de l’annonce du handicap de l’enfant et des réticences à engager un suivi thérapeutique. Maryam, d’origine malienne, dit que« quand j’ai appris le handicap de mon enfant je ne voulais pas le croire. Cela nous a été annoncé tard. C’était en école primaire. Juste parce qu’il ne parle pas beaucoup. Pour moi il n’est pas handicapé même lui me demande ce que ça veut dire. Je n’allais pas au rendez-vous de l’hôpital mais j’ai été convoquée par les assistantes sociales qui m’ont obligé à faire ça. Je ne voulais pas que mon enfant soit placé alors j’ai fait ce qu’elles m’ont dit »
Les propos livrés par Maryam nous permettent de saisir dans quelle mesure certaines familles adhèrent par la contrainte à un accompagnement médico-social qu’elles jugent inadapté. Dans le cas de cette personne et la suite de l’entretien a permis de mieux saisir le contexte d’obligation de soin orienté vers son fils. Il s’est avéré que Directeur de l’école primaire où il était scolarisé a réalisé une information préoccupante à la Cellule de Recueil d’Information Préoccupante du département du domicile de la famille. La CRIP est un dispositif relevant de la protection de l’enfance qui permet l’évaluation et le traitement des informations jugées préoccupantes. De ce fait cette mère a été rencontrée par deux travailleurs sociaux du Conseil Départemental chargé de l’évaluation de cette situation. Le directeur a en effet relaté d’importants troubles cognitifs chez cet enfant, l’infirmière scolaire ainsi que l’assistante sociale scolaire ont également transmis des données inquiétantes. Dès lors nous comprenons que parfois les travailleurs sociaux sont dans l’obligation légale d’intervenir auprès d’une famille réticente à prodiguer des soins adaptés à l’enfant. Ici, le Directeur a estimé que dans un contexte de prévention et de protection de l’enfance il se devait de signaler à la CRIP. Cette mère fait actuellement l’objet d’une Aide Educative en Milieu Ouvert (AEMO) qui est mise en place à la demande du juge des enfants. Les objectifs qui ont été fixés sont l’obligation de soin pour l’enfant ainsi qu’un accompagnement psychologique de la famille.
2. Un suivi médico-social pouvant engendrer des malentendus entre le corps médical et les familles
Dans le cadre de l’enquête de terrain, une Directrice d’un Institut Médico-Educatif de formation psychiatre met en évidence différentes façons de concevoir la prise en charge des enfants chez les parents concernés. En effet, d’après elle«les parents originaires d’Afrique de l’Ouest ayant des enfants accueillis au sein de l’IME ont des attitudes différentes face aux modalités de prise en charge. Tous ne sont pas dans cette situation mais je constate que certains d’entre-eux ne parviennent pas à se saisir des bénéfices engendrés par ce type d’accueil. Cela se manifeste notamment lorsque nous faisons des liaisons avec ces parents ou que nous les invitons aux réunions d’informations. Souvent ils ne viennent pas et se renseignent peu sur le déroulement de la journée de leurs enfants. Mais tous ne sont pas comme ça. Certains nous sollicitent beaucoup. On constate donc deux extrêmes au sein de cette même population. Selon mes observations j’ai l’impression mais je peux me tromper que les parents qui sont le moins en capacité de se saisir de la prise en charge sont ceux aux parcours migratoires compliqués avec des difficultés d’insertion sociale et professionnelle. Mais au fil du temps je note des évolutions dans la perception qu’ils ont du quotidien de l’enfant au sein de l’IME, je pense que le fait que nous essayons du mieux possible de les intégrer au fonctionnement de l’institution leur permette de lever les malentendus pouvant subsister ».
La Directrice de l’IME interrogé dans le cadre de ce mémoire CESF nous permet de mesurer certaines difficultés que peuvent rencontrer les parents à accepter l’aide et le soutien à la fois humain et matériel auprès de leurs enfants. Nous pouvons constater qu’ils ont permis l’admission de l’enfant en institution mais que, pour autant, cela ne signifie pas une capacité totale à déléguer le quotidien au professionnel du secteur médico-social. Malgré cela, la Directrice note tout de même une évolution positive de la perception de la prise en charge de l’enfant porteur de handicap. Elle évalue cette avancée positive par le fait d’avoir adopté une posture professionnelle bienveillante et non moralisatrice à l’égard des parents rencontrant des difficultés de compréhension face à ce type d’accueil.
Ce dernier témoignage est intéressant à appréhender dans le cadre de cette recherche car il nous permet de creuser le concept d’alliance thérapeutique. Pour Freud (1913) il s’agit d’une alliance forte entre son patient et le thérapeute. Elle constitue en effet la clé d’une psychothérapie réussie. Carl Rogers a également développé ce concept en l’adaptant au travail médico-social. Selon lui, quand deux personnes se rencontrent, quel que soit le contexte, les facteurs relationnels sont au premier plan. Chacun a besoin de savoir à qui il à faire, afin de définir de quelle manière se comporter. La méfiance, la confiance, la séduction sont des exemples de ce phénomène normal et utile. Et il apparait notamment dans le témoignage de cette Directrice ainsi que ce type de comportement de méfiance est adopté par certains parents.
En conséquence, le thérapeute Carl Rogers a bien défini les qualités nécessaires pour pratiquer la relation d’aide : l’empathie, l’authenticité, la chaleur humaine.
Nous pouvons imaginer que ce type de posture empathique et authentique a permis de favoriser l’accepter de la prise en charge et même un intérêt réel par la suite du quotidien de l’enfant au sein de la structure. Nous pouvons supposer que le manque d’information et parfois de connaissance de la législation, des normes et des valeurs de la société freine les interactions entre les familles et les professionnels.
3. Un positionnement professionnel jugé inadapté de la part des familles
Parmi l’échantillon interrogé dans le cadre de ce mémoire CESF trois personnes ont mis en lumière un comportement qu’elles ont évalué comme inadapté voire jugeant de la part de certains professionnels qu’elles ont rencontrés.
Ainsi, Lamine nous fait part d’une expérience qu’il décrit comme difficile lors de la rencontre avec certains professionnels gravitant autour de la situation de son enfant en situation de handicap et accueilli dans une classe ULIS. En effet, il explique que « j’ai été convoqué la structure et on m’a reproché de ne pas assez venir assez rencontrer les professeurs et de ne pas me tenir assez au courant de la situation de mon enfant. Ce qu’ils ne savent pas c’est que je travaille toute la journée et que je suis le seul à payer les factures à la maison. Ma femme ne parle pas très bien français c’est aussi pour cela qu’elle ne pose pas de questions à l’école. Elle n’ose pas. Au lieu de comprendre ce que je vis ils m’ont tout de suite fait la morale. Ça ne me donne pas envie d’aller les rencontrer. Je sais qu’ils font du bien à mon enfant mais je n’ai pas accepté ce comportement. Depuis que je suis en France la vie est difficile et on m’a souvent reproché des choses alors que je fais tout pour être comme tout le monde ».
Lamine lors de notre entretien a montré une forte émotion face à ce que pouvait lui infliger certains professionnels travaillant auprès de son fils. A la lecture de cette citation nous pouvons comprendre que cet homme a vécu une double peine. En effet, il explique à la fois avoir essuyé de nombreux préjugés lors de sa migration en France. De plus, à présent qu’il est inséré au niveau social et professionnel il lui est reproché de ne pas assez s’intéresser du quotidien de son fils. A ce propos Geneviève Pierart (2014) dit que les familles migrantes ayant des enfants en situation de handicap doivent non seulement faire face aux défis liés à cet handicap mais elles doivent de surcroît composer avec les exigences administratives, matérielles, économiques et culturelles liées à leur migration.
Ainsi nous pouvons supposer que Lamine vit cette événement comme une stigmatisation de la part des professionnels. Les stigmates (Dietchi Weissert, 2004) servent à caractériser de façon dévalorisante des personnes selon certains attributs. Ainsi tout écart à la norme peut être perçu de façon stigmatisante. Ce témoignage met de ce fait en évidence un ressenti de la part de cet homme particulièrement rabaissant de sa condition comme s’il devait faire encore plus d’efforts de par son statut d’immigré. Par rapport à ce phénomène, Goffman (1963) que ce type d’approche avec les individus amène à leur renvoyer une identité virtuelle basée sur une caractéristique spécifique.
4. Des situations fructueuses ayant permis l’acceptation de la prise en charge du handicap et des rapports collaboratifs entre les professionnels CESF et les familles
Malgré des situations parfois complexes nous avons pu constater, dans le cadre de l’enquête de terrain de ce mémoire, que certaines collaborations ont pu se mettre en œuvre. En effet, Emilie, éducatrice jeunes enfants dans une crèche, explique que« l’an dernier nous avions admis un enfant au cours des activités d’éveil et même tout au long de la journée restait en retrait. Lorsque nous tentions un contact avec lui il restait dans un mutisme qui inquiétait l’équipe éducative de la crèche. Nous avons préféré attendre avant de contacter les parents. Il était possible que cet enfant soit dans un naturel réservé mais nous sentions que quelque chose n’allait pas. Nous avions proposé un rendez-vous aux parents pour leur faire part de nos constats. Les parents étaient originaires du Togo. Monsieur comprenait bien le français mais Madame avait davantage de difficultés. Nous avons dû adapter notre communication pour ne pas les brusquer. Utiliser des mots simples, réexpliquer, reformuler. Eux aussi avaient remarqué que leur enfant était à l’écart au sein du domicile et pensait que cela allait passer. Ils nous ont demandé quoi faire et les avons orientés vers leur médecin traitant. Il s’en est suivi un parcours de soin avec des rencontrés auprès de plusieurs professionnels du secteur médical et les parents nous ont dit par la suite que l’enfant avait été diagnostiqué comme ayant un retard du développement. Nous les avons beaucoup accompagnés dans ce processus d’acceptation et il est vrai que, souvent nous constatons chez d’autres parents un obstacle à engager les démarches vers les médecins. Je comprends que cela soit compliqué mais là cela a permis à cet enfant d’être repéré de façon précoce et d’engager les traitements nécessaires à son développement ».
Cette professionnelle CESF nous apprend que les parents de cet enfant accueilli en crèche ont pu accepter le regard des professionnels sur le comportement de l’enfant et engager une démarche vers le corps médical. Nous comprenons que ce qui a sans doute permis la collaboration est l’adaptation de la professionnelle face à ces parents. Aussi, elle nous explique avoir été particulièrement attentive à une transmission efficace de l’information permettant au couple d’être investi et intégré dans l’échange. Ainsi, pour les familles migrantes il parait nécessaire d’aborder les éléments de façon explicite tout en s’assurant que les données circulent dans les deux sens.
Une autre situation où nous avons pu constater une alliance et une évolution dans le rapport entre les professionnels et les familles est mise en lumière par Axelle ; une CESF exerçant dans un Conseil départemental. Elle révèle que « dans le cadre d’un accompagnement social j’ai été confrontée à la situation de parents qui rejetaient fortement par le regard de langage d’un de leurs enfants. Nous avions été destinataires d’un signalement de la part de l’école qui avait évalué la nécessité que celui-ci soit orienté vers une classe adaptée. Les parents n’ont, semble-t-il, pas été en capacité de saisir l’intérêt de cette orientation. Je les ai reçus avec un collègue éducateur. Nous nous étions positionnés de façon bienveillante et non jugeante car je sais que braquer les familles serait contre-productif au but recherché. Il s’agit avant tout de les associer au projet pas qu’il en soit contraint. Dans l’institution où je travaille nous avons une chargée de mission spécialisée dans la question de l’interculturalité. Nous avons fait appel à ses services pour rencontrer le couple. Un véritable dialogue a pu se mettre en place en clarifiant certaines données pouvant être mal interprétées aussi bien de notre côté que de celui de la famille ».
La professionnelle CESF interrogée pour ce mémoire a clarifié au cours de l’entretien de la nécessité, parfois en situation d’incompréhension, de faire appel à un tiers maîtrisant les codes interculturels afin de mieux appréhender et respecter une visions des systèmes éducatifs différent de celui proposé.
En définitive, ce troisième et dernier chapitre a pu mettre en évidence via l’enquête de terrain appuyée par des sources théoriques que le partenariat entre les familles et les professionnels peut parfois être complexe à mettre en œuvre alors que les intérêts sont pourtant communs à savoir l’intérêt de l’enfant. Pourtant, certains professionnels CESF ont expliqué avoir pu mettre en œuvre des collaborations positives à travers une co-construction des objectifs dans la prise en charge sociale et médicale du handicap. En effet, il s’est avéré que la domination d’une démarche interculturelle orientée auprès des familles a permis de lever les freins et les malentendus. Cette constatation est forte de sens surtout dans le cadre d’une pratique professionnelle dont il convient de sans cesse réinterroger.
J’espère que ce passage issu d’un exemple de mémoire CESF vous a aidé à mieux saisir les attentes et la méthodologie de cette épreuve.
Bonjour,
J’aurais besoin d’aide sur la rédaction de mon mémoire que faire ?
Bonjour
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Bien cordialement
Bonjour, je suis actuellement en DE CESF. J’aimerai savoir comment rédiger son plan de memoire s’il vous plait.
Bonjour,
m’avez vous contacté pour obtenir un rendez-vous afin d’échanger ?
Bien cordialement