Vous allez (enfin!) savoir qui je suis

Tout sur mon parcours de formateur dans le secteur médicosocial et universitaire (sciences humaines et sociales)

Bienvenue sur mon site, où votre parcours académique et professionnel trouve sa voie. Je suis Sébastien, et mon histoire est celle d’une passion inébranlable pour le travail social, enrichie par une expertise académique et terrain diversifiée et profonde…

NON JE PLAISANTE 😁

Vous voyez, ce propos introductif a été rédigé par CHATGPT. Alors, attention, je ne remets pas en question l’intelligence artificielle qui est (pour le moment) un formidable outil sur lequel on peut s’appuyer.

Mais, JAMAIS, (j’insiste en majuscule et en gras), je ne vous recommanderai d’utiliser CHATGPT pour rédiger vos dossiers.

En effet, comme vous l’avez lu plus haut, le style est trop impersonnel (sans parler du manque d’authenticité qu’auront vos écrits et les risques de plagiat).

Bref, vous l’aurez compris, en ce qui me concerne, j’utilise un ton beaucoup moins formel et ce n’est pas demain que des robots viendront remplacer les humains (du moins pas dans le secteur de la rédaction).

Bon, on reprend ma présentation

La licence de sociologie

Comme je le disais, je m’appelle Sebastien.

Après avoir obtenu mon BAC, j’étais déjà animé par une volonté « d’aider les autres », de travailler dans un secteur qui a du sens.

Je me trouvais trop jeune pour passer les concours pour entrer en formation d’assistant de service social (et oui à l’époque il fallait passer un écrit et un oral, les places étaient chères car il y avait énormément de candidats, malheureusement aujourd’hui, en 2024, on assiste à un déclin des « vocations » pour le secteur médicosocial).

Je me suis donc inscrit à l’université et plus particulièrement en licence de sociologie.

Ces trois années (avant on disait DEUG puis LICENCE pour la L3) étaient passionnantes.

J’ai beaucoup appris aussi bien sur les grandes questions sociales qui animent nos sociétés que sur les problématiques que peuvent rencontrer les individus.

C’est pourquoi, fort de ces trois années universitaires, j’ai passé et obtenu le concours d’entrée en formation DEASS.

Ma découverte de la réalité du secteur social : du DEASS au conseil départemental

La formation préparant au métier d’assistant social a duré trois ans … et ce n’était pas de tout repos.

En effet, j’ai quitté ma ville natale pour étudier à Paris.

A côté, j’avais un job étudiant (je travaillais tous les soirs dans une structure qui accueillait des jeunes porteurs de handicap).

Je disposais donc de peu de temps pour étudier et c’est comme cela que j’ai développé une organisation à toute épreuve.

J’ai ainsi concilié, pas sans mal, les exigences de la formation, les rendus des écrits, les différents stages (dont un très éprouvant, certains référents de site qualifiant devraient se remettre en question mais c’est un autre sujet 😒).

Bref, au final j’ai obtenu mon Diplôme d’Etat (on va dire DE par la suite, on aime le jargon dans le médicosocial 🤪).

Et j’ai eu d’excellentes notes ! Par exemple au mémoire, j’ai obtenu 17 à l’écrit et 18 à l’oral. Dans le domaine de compétences lié à la pratique de terrain (intervention sociale individuelle et collective), j’ai obtenu 19 à l’écrit et 20 à l’oral…

Le truc impensable, j’étais fier de moi.

Très rapidement (un mois après l’obtention du DE), j’ai travaillé au sein d’un conseil départemental et plus précisément en service social de polyvalence (on nous appelait « les ASS de secteur »).

C’est vrai qu’on était polyvalents !

La spécificité de ce service c’est d’être confronté à une variété de problématiques sociales : handicap, violences conjugales, précarité, et bien plus.

Cette expérience a été TRES enrichissante car elle m’a permis d’être réactif, de comprendre l’importance des liaisons partenariales et du travail d’équipe (pour dédramatiser les situations complexes heureusement qu’on se soutenait entre collègues, j’avais la chance (ce n’est pas le cas partout) d’avoir une équipe et une cadre socio-éducative AU TOP.

Mes premières déceptions au cœur de l’Aide Sociale à l’Enfance

Quand j’étais assistant social de polyvalence, j’étais amené à faire des « évaluations IP ».

En fait, quand une information préoccupante est transmise au département, la CRIP (cellule de recueil des IP) nous sollicitait si la famille concernée était domiciliée sur notre secteur.

J’appréciais réaliser ces évaluations IP.

Je trouvais que j’étais dans la relation avec les personnes, j’avais davantage de temps à leur consacrer et il y avait moins d’administratif (je sais depuis ça a changé ne me tombez pas dessus les référents ASE 😭😂)

J’ai donc postulé, en interne, au sein de l’équipe ASE.

Je ne vais pas m’étaler mais j’ai rapidement été déçu des conditions de travail et du manque de reconnaissance de notre hiérarchie (je ne parle pas des chefs de service ni des inspecteurs ASE mais ceux encore plus haut qui élaborent les politiques d’action sociale et éducative du département sans toujours prendre en compte notre réalité de terrain).

On avait peu de moyens, on faisait plein d’heures supp et on devait appliquer des procédures de plus en plus contraignantes.

Bien sûr, j’avais conscience des difficultés à l’ASE mais quand on y exerce c’est autre chose.

J’ai failli faire un burn-out, je suis parti à temps.

J’y suis resté deux ans puis j’ai demandé une disponibilité pour travailler dans le secteur privé et notamment en entreprises.

J’ai ainsi exercé pendant trois ans en tant qu’assistant social du travail auprès des salariés d’un grand groupe.

C’était une expérience enrichissante, je recommande vivement aux étudiants ASS (et CESF car il y en a de plus en plus dans ce secteur) d’y faire un stage.

Un nouveau chapitre dans mon parcours : le master de sociologie des organisations option management/ressources humaines et le CAFERUIS

Souhaitant élargir encore mes horizons, j’ai repris mes études pour obtenir un double diplôme en CAFERUIS et Master en Sociologie des Organisations, option Management et Ressources Humaines.

Cette période de ma vie était intense car je menais de front mon travail d’assistant social en tant que salarié et la double formation une semaine par mois.

Mais c’était surtout une expérience très, très, enrichissante.

Etre de « l’autre côté » dans l’institution m’a permis d’appréhender des fonctions et des approches innovantes qui me servent encore aujourd’hui dans mon travail de formateur.

Ainsi, après avoir obtenu le CAFERUIS et le master, j’ai travaillé dans le champ du handicap.

Pour ceux que ça intéresse, j’ai fait mon mémoire sur l’inclusion des résidents en MAS et le décloisonnement des interventions à travers une ouverture vers l’extérieur.

J’étais chef de service d’abord en IME puis en FAM et enfin en MAS pour la même association gestionaire.

J’ai pu développer des compétences managériales et surtout élaborer des projets de service innovants en fédérant les professionnels dans une volonté d’intelligence collective.

J’avais également à cœur de favoriser la participation des usagers, l’empowerment ainsi que la co-construction avec les collaborateurs.

En effet, mes objectifs premiers étaient de garantir un accompagnement de qualité pour les personnes en situation de handicap mental tout en apportant aux équipes que j’encadrais une (très) bonne qualité de vie au travail.

Le partage de savoir : mes expériences de formateur en IRTS et juré pour les épreuves de certification

J’ai oublié de vous dire que pendant que j’exerçais comme assistant social et chef de service j’étais formateur vacataire dans plusieurs centres de formation et universités.

Avoir le statut de vacataire veut dire que je n’étais pas embauché par les écoles.

J’intervenais ponctuellement pour animer des séances de travail, essentiellement autour du mémoire, de la note de recherche et des analyses de situation de stage (situation individuelle, collective et partenariale/en réseau).

J’ai ainsi été amené à encadrer des étudiants de formations particulièrement variées (du secteur social, éducatif, de l’encadrement, du paramédical et ceux en master de sociologie, sciences de l’éducation, management des organisations, etc.)

En parallèle, je faisais partie du jury pour évaluer les candidats lors des épreuves finales.

Ces expériences progressives ont constitué en moi un déclic : c’est dans le secteur de la formation et de l’accompagnement des adultes que je suis VRAIMENT épanoui !!!

En effet, je ressentais du plaisir à accompagner les candidats dans la rédaction de leurs dossiers, dans leur cheminement, dans leur réflexion et dans la préparation des oraux.

Je ne ressentais aucune contrainte dans ce travail.

J’étais tellement épanoui et aligné avec mes valeurs que j’ai décidé d’en faire mon métier à temps-plein.

C’est ainsi que j’ai fondé en 2015 ma propre activité et que j’ai crée le site Internet sur lequel vous me lisez actuellement.

Pourquoi choisir ma méthode d’accompagnement ?

A travers mon parcours riche et diversifié, je me présente non seulement comme un expert du secteur médicosocial, mais aussi comme un mentor dévoué aux étudiants que j’accompagne.

Je n’ai pas honte de le dire.

Je n’apprécie pas la fausse modestie.

Au niveau de mes accompagnements, j’ai une mentalité assez « nord-américaine » qui prône les encouragements et l’enthousiasme plutôt que la dévalorisation.

Pour moi, il n’existe pas vraiment d’échec.

Oui, ça ne fait jamais plaisir de redoubler ou d’échouer à un entretien d’embauche.

Mais il faut en tirer des leçons pour s’élever et s’améliorer.

Si je fais référence à ma méthode d’accompagnement qui s’appuie sur ce qui se fait dans les pays anglo-saxons, c’est parce que j’ai malheureusement trop vu de formateurs humilier les étudiants.

En effet, quand je travaillais en IRTS ou quand je lis (encore aujourd’hui) les commentaires des guidants des étudiants que j’accompagne, je trouve qu’il y a un réel problème.

Je ne généralise pas, bien sûr qu’il existe des formateurs attentionnés et motivants.

Cependant, je ne compte plus les messages désespérés des étudiants qui me contactent pour travailler avec moi car chaque retour fait sur leur écrit est dévalorisant.

C’est pourquoi je valorise surtout l’approche empathique dans ma méthode.

C’est d’ailleurs ce qui a permis la réussite des candidats car en plus de corriger leurs dossiers, je fais tout pour leur redonner confiance en leurs capacités.

Finalement, je suis là pour transformer vos obstacles et vos freins en réussite.

Et croyez moi, vous avez tous et toutes les capacités de valider, haut la main, vos épreuves.

Alors, rejoignez moi dans cette aventure qui, j’en suis convaincu, vous mènera vers la validation de votre diplôme (et la délivrance, on peut se l’avouer 😁 ).

Enfin, n’achetez pas votre mémoire, hors de prix, auprès de sociétés douteuses.

Faites vous plutôt confiance et faites moi confiance car ma mission est de faire émerger vos qualités rédactionnelles et vos compétences à l’oral pour que, finalement, vos études ne soient plus « une épreuve ».

Ainsi, je vous invite à me contacter par mail ou par SMS afin que je réponde à vos questions.

Mais avant, n’oubliez pas de lire ma page « FOIRE AUX QUESTIONS« 

En effet, j’ai fait au mieux pour anticiper toutes vos interrogations et je suis sûr que cela répondra à vos premiers questionnements.